ZAPISKIurp'ris par l'arrnee Royal - et. n'imt au le temps que .cle courir au:\. armes de til'cr une couple de fois et de fuire. Crotoffer aimait le R{' jo'Ur des ch1lteaux, puisqu".m'l'a pri dans celui de Konarzew. Certes ceux qui meIwnt de braves paysans a la. bouchcrie sont bien COIIpables. La dcrniere fois que fai Hć a Rogalin Oli je n"ai pass!; qu'ullc nuit j'ai vu les Kossiniery 'Jnc 30', vcnant de I<i::,;iąż envahir la cour de Rogalin. lis ont deffi\andć a m.anger seulpment. Je lcur ai pa.dp. los eugagcnt a retourner chaqun chpz cux et a rel)rendł'e les travaux de la Campagne. .J'a.i pleure a chaudos larmes en entendant ces pau\res. J'ai prevu des 1.o11S un sort fmwste a Hogalin, mai,s pas par I[ Hlain de l'armee du Holi - Cependan-t los Kossin!pry n'ont rien pilIe a. Rogalin, mai s Hs ont mange ce qui Mait destinć a l'hópital et au deIa. J'ai joU'is par j,our los plainte-s de mes gens qui ,so plaignent du sćjour de ce,g Km>sinicry - J'a'i ecris la dessu"! fi mes gCJ1S Icur disant de montrer au chef ma lettre, de le pl'iel' de ,se retirer afin que l'hópital pui.sso Ctre ćtal)li, - qu'ils mangent rh6pital -- .rai en maiI1B toute cettc coreSipnndance avce mcs gens qui etaipnt au desespoir dlt s{>jour de cette bande. Les lettrrs ponrl'ont serviI' de piece de conviction au proces s'il y en a un - D'aillpur sli V{Jus voyez l'etat de Rogalin vous verl'icz que ce ne sont paR des genB qui habit!'nt les bois et sont en gUCl'I'e avce les juifs qui peuvrnt emporter des penctules, des serl'ures, jusqu'aux instrmcnt.s oratoires qui ont ele vendu 1\ dr,s hollendry. Mon bien cher Comtc je ne crains pas le proces - il serait a moi a en faire uno Mais je me suis adressp au General Steinacker lui ai ecrs une leth'e moitir poIonaisc moitii' allemandc reclamant pour mes geIls les 6000 en dćclara.nt quc cet al'gcnt etait a cux. Mai!" ił n'a pas daigne me repondre. Voila]e veritable etat d's choses. J'attend que les .chemjns offrent que]que securite pour venir a Posen _ non que je craigne la mort, a 6;) ce- qu'on a fi vivre nr vaut pas une lachete - et puis quelle viI) - eHe est un tourment - II me scmbIe que les hommes deviennent t.ous fons. - Je suis avec angoise les jouTnaux en verite c'est l'anearnt1sscmcnt de toute civilisatioll, En France tout le monde conspire -- qU'i fraip.pe-t-on. II pa.rait que le salut ne p,e.ut venir que de la Russ1it' et ce Bont Ie.s Baszquires qui. s:\uvront la civilisation de l'Rurope! . ,Si toute foi le vers rongeur no s'est pas introduit la comrne ailleur, mais il n'a pu encore aJJ€Il' bien avant, a ce' qu'il me semJJle. En verite ił n'y aura de repos dam; le monde, que quand on retablira la Pologne! Un moment j'y ai cro d'apres ce qui se passa.it dans la Duche et que je ne cOImprenais pas, .rai vu arrive,r armes les etudiants de Berlin. J'ai vu lVIil'osławski arriver en triomphateur - le tout de ma fenetre. Je IDa tatais Po.ur savoir si je n;'etai.s pas endo.rmi, si je ne rev,ais pas, Tout le temps la je n"ai vu que des femmes Personne c1('oS regnants - Je IW puis hela s, hćla.s, cent fois helas. -

Kronika Miasta Poznania: kwartalnik poświęcony sprawom kulturalnym stoł. m. Poznania: organ Towarzystwa Miłośników Miasta Poznania 1936 R.14 Nr1

Czas czytania: ok. 3 min.

Powyższy artykuł jest częścią publikacji Kronika Miasta Poznania: kwartalnik poświęcony sprawom kulturalnym stoł. m. Poznania: organ Towarzystwa Miłośników Miasta Poznania 1936 R.14 Nr1 dostępnej w Wielkopolskiej Bibliotece Cyfrowej dla wszystkich w zakresie dozwolonego użytku. Właścicielem praw jest Wydawnictwo Miejskie w Poznaniu.
Do góry